« Nous, la danse » dresse le portrait sensible d’un lieu de transmission par excellence.
La collaboration entre la chorégraphe Anne Teresa De Keersmaeker et le violoncelliste Jean-Guihen Queyras.
Narcisse Pelletier, un mousse vendéen, après un naufrage dans les années 1850, passe 17 ans dans une tribu aborigène de l’extrême nord de l’Australie.
Elle avance ainsi, par incidents successifs : poser pour un peintre est une expérience inédite. Ce qui est nouveau pour lui, c’est de peindre une inconnue.
Notre intention est avant tout de faire partager ce plaisir de la rencontre avec un acteur et un témoin privilégié d’une certaine époque, celle où les auteurs-interprètes étaient avant tout des poètes.
Seize ans après la destruction des bouddhas de Bāmiyān, quelle est l’empreinte laissée dans les esprits par cet événement et quelle est sa place dans notre perception de l’histoire contemporaine ?
Les acrobates expriment les contradictions de leur monde tiraillé entre sacré et profane, goût pour le spectaculaire et présence de l’invisible, authenticité et emprunts.