Depuis plus de quarante ans, Ailey II prépare les nouveaux talents de la danse américaine à rejoindre l’Alvin Ailey American Dance Theater.
Un couple de français vient s’introduire, comme un virus, dans un paysage mexicain chargé de légendes et de symboles, où se racontent des histoires de fantômes, de meurtres, d’enlèvements et de violence.
Un spectacle composé de trois pièces du chorégraphe américain, ancien danseur de la Merce Cunnigham Company, réalisés en collaboration avec le plasticien Daniel Arsham et le musicien Pharell Williams.
Bill T. Jones goûte à la mélancolie et à la douceur en donnant corps, à ces partitions aux logiques complexes, jouées ici par le Quatuor Yako dans le cadre d’un partenariat pédagogique avec le CNSMD de Lyon.
Certains diront qu’il a ramené le hip-hop dans les opéras, d’autres diront qu’il a ramené la danse classique dans la rue. Ce qui ne fait en revanche pas débat, c’est la capacité qu’a eue Kyle Abraham d’abolir les frontières séparant l’art du bitume de celui du parquet.
Andréa Miller, brillante chorégraphe de cette jeune compagnie New-yorkaise, développe un univers puissant et d’une grande beauté. Pour la première fois en France.
Pour Alonzo King et ses douze solistes, dans un registre à la lisière du classique et du contemporain, Constellation est une nouvelle approche. La danse élargit son horizon sans jamais perdre de vue l’essentiel : l’émotion.
Crackolandia, c’est le nom donné, au Brésil, aux quartiers désaffectés envahis par des dizaines de toxicomanes qui vivent, dorment, achètent et vendent de la drogue dans l’impunité la plus totale, et où il n’est pas rare de retrouver des corps inanimés.