Comme l’est Harlem pour New York, Sophiatown est pour Johannesburg le lieu de luttes politiques et artistiques dans l’histoire de l’Afrique du Sud. La saveur et l’énergie inaltérables des Via Katlehong se mettent au service de ce symbole.
Soirée en deux temps autour du coupé-décalé, danse très populaire, d’origine ivoirienne, apparue à Paris au début des années 2000 : premier acte par Robyn Orlin dans un solo pour James Carlès, deuxième acte par James Carlès pour cinq danseurs inventifs et énergiques… Une confrontation de regards qui tend à figurer notre propre approche de la danse noire.
Chacune d’entre elles propose son regard sur son travail et la société qui l’entoure. Elles expriment leurs espoirs et désirs de changement d’un État en crise.
Comment s’affranchir d’un père, d’un mari, de la religion, et des préjugés, pour devenir une femme libre.
A onze ans, Dada Masilo tombe amoureuse du Lac des cygnes et se promet d’en créer une version personnelle. Elle s’y consacre à 26 ans et fait exploser joyeusement les codes du ballet romantique avec un seul mot d’ordre : être iconoclaste.
Un formidable concert chorégraphique de toute beauté, un hommage au peuple Massaï dont l’élégance fascine.
Les Kabyles existent d’abord par la parole. Chaque geste, chaque instant de leur quotidien se raconte en vers et en métaphores. Dans la réalité de l’exil, cette oralité transmise de génération en génération se transforme en un ultime bagage pour se construire ailleurs.
Une parole sur l’Afrique, ses grandeurs et ses failles, sans apprêt ni violence, mais une parole courageuse.