Nurith Aviv s’aventure dans un champ peu connu, celui des langues des signes.
Des réfugiés, comédiens amateurs, témoignent de l’exil.
Akram Khan nous offre un conte chorégraphique où l’on partage les rêves et les souvenirs d’un jeune garçon, de la Grande-Bretagne au Bangladesh, pays d’origine de ses parents. Le chorégraphe raconte l’enfant qu’il a été et l’homme qu’il est devenu.
Un couple de français vient s’introduire, comme un virus, dans un paysage mexicain chargé de légendes et de symboles, où se racontent des histoires de fantômes, de meurtres, d’enlèvements et de violence.
Il est plus constructif et courageux de tendre la main à son ennemi que de faire parler les armes.