Un formidable concert chorégraphique de toute beauté, un hommage au peuple Massaï dont l’élégance fascine.
Qu’est-ce que le recyclage si ce n’est une transformation ? Redonner un caractère usuel à des objets, des choses, des produits inutilisables, désuets, vides, abîmés. La transformation est au cœur même du conte Cendrillon.
À l’écoute des pulsions anonymes de la rue, ouverte aux rencontres, la danse de Mourad Merzouki fait son chemin. Du ring à la scène, du jeu aux coulisses de l’exploit.
Un caméléon. Un monstre. Le seul point commun de toutes les expériences musicales et sonores que Michel Portal a menées, c’est peut-être l’improvisation, et son exigence : se mettre continuellement en danger, se jeter au-dehors.
Une parole sur l’Afrique, ses grandeurs et ses failles, sans apprêt ni violence, mais une parole courageuse.
La chronique drolatique et virtuose des aventures (extra) ordinaires de couples confrontés aux grands et petits drames de l’improbable quotidien.
Une exploration tanguera de l’univers de la nuit.
Poursuivant le travail sur les matériaux, l’architecture et le corps qui a donné son univers particulier à leur précédent spectacle, In Vivo, S’poart élargit son équipe et entre dans une autre dimension.
Le chorégraphe aborde le thème du lien, dimension essentielle de son geste artistique et présent au cœur de nombre de ses ballets.
Un ballet âpre et sensuel, une tragédie du sang et du deuil qui porte aussi une grande bouffée d’espérance.