Au programme : virtuosité, élucubration et surréalisme, ou comment faire la preuve d’une danse électrisée par l’énergie de la performance.
Un amalgame de corps se dresse pour former une architecture pyramidale et au fil de portés périlleux, les danseurs de la Compagnie XY s’envolent
Un message écologique comme un chant d’amour à une nature africaine intacte. Ou comment danser contre les « leda », ces sacs plastiques qui étouffent littéralement le continent.
Faire mouvement sans faire chorégraphie ou presque. C’est le programme bâti au fil des pièces par Nacera Belaza, qui préfère le corps à toute idée de scénographie.
Comme suspendus, les corps s’agitent pour éviter la chute, dans un dialogue inépuisable et harmonieux avec l’attraction terrestre.
Et si chorégraphier c’était parcourir des pistes non linéaires pour arriver à une écriture précise qui se construit par couches d’indices ?
Six jeunes femmes. Proches de la trentaine. Elles sont nées dans le même immeuble de la cité des Mordacs à Champigny Sur Marne, banlieue ouest.
Une saga familiale du village de Ho Chung jusqu’à l’Europe. L’histoire d’une société rurale pour évoquer Hong Kong au-delà de sa modernité et de son consumérisme.
Elephant Blues est l’histoire d’Ojas, une petite fille qui grandit dans une forêt du Sud de l’Inde parmi les éléphants. Cette enfance, elle la doit à sa mère, Prajna, qui a tout quitté pour retrouver une identité aux racines de sa culture, inspirée par l’histoire de Palakapya, un ermite de la mythologie indienne qui vivait avec les éléphants sauvages il y a 2500 ans.